Retracer l’histoire de la musique fuji, c’est plonger la tête la première dans l’histoire et la culture musicale de tout le Nigéria. Le genre puise ses origines dans les communautés musulmanes yorubas de la région […]
Retracer l’histoire de la musique fuji, c’est plonger la tête la première dans l’histoire et la culture musicale de tout le Nigéria. Le genre puise ses origines dans les communautés musulmanes yorubas de la région […]
C’est l’un des genres musicaux autochtones les plus populaires au Nigéria, ayant vu le jour sous la forme d’un mouvement socio-culturel de la région Sud-Ouest au début des années 1960, quand le pays venait tout […]
A la fin des années 60, le Nigéria connaît de graves troubles politiques, entraînant dans le nord du pays le massacre de masse des Chrétiens Igbo par des Musulmans Haoussas et Fulanis, puis la guerre […]
Dans les années 2000, les caractéristiques de la musique fuji évoluent considérablement grâce aux apports de Wasiu Alabi Pasuma, qui n’hésite pas à inclure de l’anglais, du pidgin et de l’argot populaire, le tout dans […]
En trois épisodes, PAM vous propose un voyage dans le monde de la nuit abidjanaise. Des maquis aux boîtes de nuit, au son du zouglou, du coupé-décalé ou du rap ivoire, Léo Montaz (texte) et Camille Millerand (photos) sont partis à la rencontre de ceux qui ne dorment pas et font la vie, la nuit.
Abidjan, ça dort pas la nuit (1/3) I Les maquis, bars populaires et emblèmes des nuits abidjanaises, sont devenus des lieux de live et offrent aux artistes, ceux du zouglou en particulier, de nouvelles scènes où se produire. De Yopougon à Adjamé, voyage dans la culture maquis, et dans son économie.
Abidjan, ça dort pas la nuit (2/3) | Depuis la naissance du coupé-décalé, la culture du « boucan » : celle du paraître et de la dépense somptuaire, a fleuri dans Abidjan. Les jeunes rappeurs du maïmouna, dernière tendance musicale en vogue, l’ont reprise à leur compte.
Abidjan, ça dort pas la nuit (3/3) I Figure des nuits abidjanaises, DJ Luciano a été un acteur majeur de l’émergence des DJ, qui sont passés de l’anonymat des années 80 à la lumière, quand le coupé-décalé les a placés au centre des nuits et des musiques ivoiriennes.
Le compositeur Chassol est l’invité du cycle de concerts organisé par la Philharmonie de Paris, qui fait résonner l’œuvre de Basquiat avec celles de musiciens. Comment Basquiat parle à Chassol? Comment Chassol parle de Basquiat? Réponses dans l’interview que voilà.
Tout au long de son parcours de comète, Basquiat ne cesse d’interroger sa place et celle des noirs dans la société américaine et dans le monde. La musique va l’y aider, elle qui fournit les traces intangibles des liens qui unissent l’Afrique à ses enfants. C’est ce fil musical, cette histoire personnelle et collective, que nous allons évoquer dans cette série en trois volets consacré à Basquiat.
Pour le peintre, mélomane et musicien à ses heures, le jazz et le bebop en particulier, est une référence majeure : les jazzmen hantent ses toiles, et font figure de héros, sinon de martyrs, dans son histoire de l’Amérique.
Basquiat prend de plein fouet l’émergence du mouvement hip-hop, qui des murs de la ville aux blocks parties du Bronx, déferle sur New York. En réalité, il en est un acteur à part entière, dans ses techniques de sampling visuels et jusqu’en studio.
Les festivités du carnaval ont démarré aux 4 coins du monde. PAM vous emmène à Trinidad-et-Tobago, au Cap-Vert et au Brésil pour découvrir la ferveur et la fièvre qui enivrent ces lieux quand le Carême approche.
Toujours aux avant-gardes, le trompettiste Christian Scott, devenu Chief aTunde Adjuah, étire encore ce qu’il appelle la stretch music, en naviguant au-delà des frontières, tout en restant ancré dans la tradition africaine et l’héritage familial black indians. Sans oublier d’inventer ses propres instruments. Interview.
2ème volet de la série Black Indians, rebelle rencontre avec le groupe 79rs Gang qui réunit dans un band détonnant deux Big Chiefs Indians autrefois rivaux incarnant à merveille l’esprit du hip-hop : peace et unity
Black Indians, rebelle rencontre : une série en trois volets où dignité, fierté et résistance s’écrivent en costumes et en chansons.
C’est à la Nouvelle-Orléans que s’enracine la culture des Black Indians qui rendent hommages aux racines africaines des descendants d’esclaves et au patrimoine des chefs amérindiens.
Alors que l’expo Rébellion Afrobeat a ouvert ses portes à Paris, PAM – partenaire de l’évènement, vous propose de lire ou relire le parcours de l’inventeur et roi de l’Afrobeat. Un récit biographique en trois volets, publié tous les lundis, écrit par le journaliste François Bensignor, qui a contribué au catalogue de l’exposition.
Alors que l’expo Rébellion Afrobeat a ouvert ses portes à Paris, PAM – partenaire de l’évènement, vous propose de lire ou relire le parcours de l’inventeur et roi de l’Afrobeat. Un récit biographique en trois volets, publié tous les lundis, écrit par le journaliste François Bensignor, qui a contribué au catalogue de l’exposition.
FELAGRAPHIE, une série en 3 volets. Retrouvez l’épisode 2 ici et l’épisode 3 ici I Une vocation de musicien Les années d’enfance de Fela ? Une interminable corvée selon lui. La vie chez ses parents […]