Animée par la passion du DJing depuis 4 ans, Ka-raba canalise l’esprit rave des musiques électroniques venues d’Afrique et de la diaspora dans un PAM Club mouvementé ! De racine nigériane et philippine, Katie aka Ka-raba […]
Avec des échanges de plus en plus nombreux entre l’Afrique du Sud et le reste du monde, ces derniers mois ont été riches en termes d’amapiano ! Le duo des Major League DJs, par exemple, […]
Il y a un siècle, l’écrivain américain posait ses bagages à Marseille où il trouvait l’inspiration dans le libre mélange des genres et des gens. Son roman Banjo s’y déploie au son d’un jazz ouvert à tous les vents diasporiques.
Abidjan, ça dort pas la nuit (1/3) I Les maquis, bars populaires et emblèmes des nuits abidjanaises, sont devenus des lieux de live et offrent aux artistes, ceux du zouglou en particulier, de nouvelles scènes où se produire. De Yopougon à Adjamé, voyage dans la culture maquis, et dans son économie.
Abidjan, ça dort pas la nuit (2/3) | Depuis la naissance du coupé-décalé, la culture du « boucan » : celle du paraître et de la dépense somptuaire, a fleuri dans Abidjan. Les jeunes rappeurs du maïmouna, dernière tendance musicale en vogue, l’ont reprise à leur compte.
L’orchestre de 13 musiciens londoniens a fait paraître en juillet son second album, When The Dust Settles, qu’il présentera le 8 septembre au Festival Jazz à la Villette de Paris. PAM a eu la chance de voir Balimaya à Dakar, lors de son premier concert en Afrique, et de rencontrer son fondateur : Yahael Camara Onono. Interview.
Chaque mois, PAM parcourt les scènes panafricaines et vous offre une sélection d’albums à écouter sans modération. Pour conclure l’été découvrez l’héritage musical bikutsi avec Gibraltar Drakus, savourez les nouvelles sonorités de Burna Boy et laissez le kuduro des DJs Di Guetto vous transporter.
Retour sur la vie du meilleur représentant de la musique apala : de ses débuts percussifs dans un genre ancestral yoruba-musulman, jusqu’à ses grands succès politiques avec le Oroki Social Club, en passant par la fondation du premier label discographique africain, Haruna Ishola est la musique apala.