Il y a un siècle, l’écrivain américain posait ses bagages à Marseille où il trouvait l’inspiration dans le libre mélange des genres et des gens. Son roman Banjo s’y déploie au son d’un jazz ouvert à tous les vents diasporiques.
Il y a un siècle, l’écrivain américain posait ses bagages à Marseille où il trouvait l’inspiration dans le libre mélange des genres et des gens. Son roman Banjo s’y déploie au son d’un jazz ouvert à tous les vents diasporiques.
L’orchestre de 13 musiciens londoniens a fait paraître en juillet son second album, When The Dust Settles, qu’il présentera le 8 septembre au Festival Jazz à la Villette de Paris. PAM a eu la chance de voir Balimaya à Dakar, lors de son premier concert en Afrique, et de rencontrer son fondateur : Yahael Camara Onono. Interview.
Fruit de l’union du jazz et des musiques afro-latines, le collectif lisboète GUME donne une nouvelle perspective de la musique afro. Leur free jazz à l’esprit DYI traverse les continents pour rallier les influences musicales, rencontre.
La scène jazz sud-africaine continue d’être le point de convergence de sonorités les plus éclectiques. Voici notre dernière sélection de ses plus récents trésors.
Le jazzman Bokani Dyer présente la vidéo live de « Move On », troisième single extrait de Radio Sechaba, un nouvel album qui affiche les couleurs de la scène jazz bouillonnante sud-africaine.
Compagnon de route de Roy Hargrove et D’Angelo, le saxophoniste délaisse sa Guadeloupe natale pour explorer, dans son “Harlem Suite”, le quartier new-yorkais qui l’a vu éclore sur le tard, et presque par hasard.
Tout au long de son parcours de comète, Basquiat ne cesse d’interroger sa place et celle des noirs dans la société américaine et dans le monde. La musique va l’y aider, elle qui fournit les traces intangibles des liens qui unissent l’Afrique à ses enfants. C’est ce fil musical, cette histoire personnelle et collective, que nous allons évoquer dans cette série en trois volets consacré à Basquiat.
Pour le peintre, mélomane et musicien à ses heures, le jazz et le bebop en particulier, est une référence majeure : les jazzmen hantent ses toiles, et font figure de héros, sinon de martyrs, dans son histoire de l’Amérique.