Il y a un siècle, l’écrivain américain posait ses bagages à Marseille où il trouvait l’inspiration dans le libre mélange des genres et des gens. Son roman Banjo s’y déploie au son d’un jazz ouvert à tous les vents diasporiques.
Il y a un siècle, l’écrivain américain posait ses bagages à Marseille où il trouvait l’inspiration dans le libre mélange des genres et des gens. Son roman Banjo s’y déploie au son d’un jazz ouvert à tous les vents diasporiques.
Alors que le groupe saharien publie son nouvel album Amatssou (la peur), Abdallah Ag Alhousseini – l’un de ses piliers, a reçu PAM dans le désert, au sud de l’Algérie. Le temps d’évoquer le destin des Tinariwen et de leur message. Interview.
Le groupe de légende formé en 1973 par des jeunes Algériens de France a été un laboratoire sans égal où se marièrent influences rock et traditions kabyles et maghrébines. Le label Bongo Joe leur consacre une excellente compilation : Amazigh Freedom Rock.
Une compilation plonge, d’Oran à Paris, dans les années les plus folles et expérimentales du raï (1983-90). Fred Serendip, auquel on doit cette sélection, a répondu à nos questions.
« Que ma musique ait du succès. » Le premier vœu du pianiste a largement été exaucé. Quarante-et-un ans ans après sa mort, l’aura de Monk demeure sur la sphère jazz, et même bien au-delà.
Jacques Denis entreprend ici une réflexion sur le destin du jazz sénégalais, dont il retrace l’histoire. Y’a-t-il, comme aux Antilles, une matrice sénégalaise à ce genre musical par essence créole ?
Avec son Pan African peoples Arkestra, le jazzman Horace Tapscott aura ouvert de nouvelles voies, et toujours préféré sa communauté à la notoriété. Vingt ans après sa mort, son héritage et son influence sont plus vivants que jamais.
L’artiste qui redora le blason de la flûte en bambou est resté trop longtemps dans l’ombre, quand son parcours, sa créativité et son ouverture d’esprit touchent au sublime.