Avec son Pan African peoples Arkestra, le jazzman Horace Tapscott aura ouvert de nouvelles voies, et toujours préféré sa communauté à la notoriété. Vingt ans après sa mort, son héritage et son influence sont plus vivants que jamais.
Avec son Pan African peoples Arkestra, le jazzman Horace Tapscott aura ouvert de nouvelles voies, et toujours préféré sa communauté à la notoriété. Vingt ans après sa mort, son héritage et son influence sont plus vivants que jamais.
L’artiste qui redora le blason de la flûte en bambou est resté trop longtemps dans l’ombre, quand son parcours, sa créativité et son ouverture d’esprit touchent au sublime.
PAM vous emmène dans la fabrique d’un des albums culte de Salif Keïta, Moffou, publié il y a 20 ans et aujourd’hui réédité.
Aux Comores, impossible de ne pas connaître le talent de ce musicien qui vibre et qui, à presque 65 ans, collabore tous azimuts et espère rencontrer le succès international pour enfin vivre de son art.
Le pionnier du rap comorien confie à PAM son amour pour le twarab, musique chevillée au cœur de ses concitoyens, dont il s’inspire dans ses créations.
En Tanzanie comme aux Comores, le genre poursuit son évolution, et s’hybride aujourd’hui au jazz ou au rap, comme à la rumba. Autant de nouvelles voies présentées à Moroni lors d’un festival dédié. PAM y était.
« Un bon compagnonnage est toujours le fruit d’une rencontre autour des valeurs dans le respect des traditions et cultures. » C’est par cette formule qu’Ablaye Cissoko résumait en 2012 sa fructueuse collaboration avec le […]
Le photographe Vincent Rosenblatt, installé à Rio depuis plus de vingt ans, a suivi l’irrésistible contagion des baile funk et des contre-cultures qui s’expriment dans la rue. Ses photos sont exposées jusqu’au 29 juillet à Paris. Courez-y.