PAM rend hommage à Manu Dibango, qui nous a quitté le 24 mars 2020. Le musicien, généreux pionnier, a tissé des ponts entre l’Afrique et le monde. Retour sur les premiers chapitres de son fantastique roman.
PAM rend hommage à Manu Dibango, qui nous a quitté le 24 mars 2020. Le musicien, généreux pionnier, a tissé des ponts entre l’Afrique et le monde. Retour sur les premiers chapitres de son fantastique roman.
Le 30 juin 1960, le Congo (RDC) devenait indépendant. Alan Brain, réalisateur du film The Rumba Kings et Manda Tchebwa, historien de la musique congolaise, ont reconstitué avec précision, archives à l’appui, le voyage en Belgique de l’orchestre African Jazz, chargé d’égayer les nuits des délégués participant aux négociations de le Table Ronde, et qui composa l’ « Indépendance cha cha ».
Lorsque le trompettiste et chanteur afro-américain Louis Armstrong arrive au Congo, le pays tout juste indépendant est en crise. Mais son passage suscite l’enthousiasme et inspire à l’African Jazz une chanson de bienvenue.
Le 11 février 1983, Joseph Kabasele s’éteignait à Paris. L’un des pères fondateurs de la rumba congolaise, leader de l’African Jazz, a laissé un immense héritage, que José Nzolani replace dans l’histoire du Congo au fil de son livre.
On avait laissé le Congo-Léopoldville (actuelle RDC) de l’après-guerre, en train d’accoucher d’un nouveau son et de nouvelles idées : celles qui mèneront le pays à l’indépendance, le 30 juin 1960.
PAM vous invite à découvrir notre série consacrée à l’indépendance de l’actuelle RDC, et à la toute-puissance de la rumba.
PAM rend hommage à Manu Dibango, qui nous a quitté il y a un an, le 24 mars 2020. Le musicien, généreux pionnier, a tissé des ponts entre l’Afrique et le monde.
Dès les années 50, les musiques afro-cubaines eurent le vent en poupe. Ce sont elles que les premiers grands orchestres congolais se mirent à imiter, avant de s’en inspirer pour créer leur propre son : la rumba congolaise.