Après avoir raconté les débuts de son label pionnier, Amha Eshèté revient aujourd’hui sur son exil et son retour en Éthiopie (deuxième partie de l’interview).

Le légendaire groupe de Gao, né il y a près de quarante ans, publie un disque enregistré au cours d’une fête populaire, un moment de bonheur dans une région qui a trop souffert.

Un panthéon d’esprits nés en Afrique sub-saharienne, des cérémonies qui se tiennent à portes closes et une musique thérapeutique…

Transe, place des artistes palestiniens, bouillonnement de la scène d’Haïfa… Rencontre avec le binôme qui sort son premier album sur Acid Arab Records.

Sur son premier album, Buffering juju, le duo nomade folk dumama+kechou accumule les prises et les reprises, pratiquant l’art du bricolage et de la déconstruction d’un son que les esprits étriqués continuent d’appeler « musique électronique ».

Dans son premier album, Nayda, le groupe Bab L’Bluz fait résonner les rythmes de transe gnaoua dans les champs magnétiques du rock et les volutes d’encens. Poétique et puissant.

Malgré le confinement, le rap ivoirien n’est pas resté à l’arrêt pendant le mois de mai. Retour sur les faits marquants de son actualité et sur les nouveaux titres signés par les poids lourds de la scène et les valeurs montantes de l’underground.

Amha Eshèté fut le premier producteur indépendant de disques d’Éthiopie. Il se raconte à PAM (première partie).

Avec son projet Yeko, Yohann Le Ferrand réunit des musiciens africains autour de sa guitare. Son clip a été enregistré avec Khaira Arby avant son décès.

La chanson d’Alpha Blondy évoque la gigantesque artère rebaptisée « boulevard de la mort » par les Abidjanais. PAM vous en dit plus sur le contexte de la chanson, et le sens de ses paroles.  L’histoire retiendra […]

Tour d’horizon, avec escale chez celles et ceux qui les ont rendu célèbres hier, ou les mettent à l’honneur aujourd’hui.