fbpx → Passer directement au contenu principal
The Pan African Music Magazine
©2024 PAM Magazine - Design par Trafik - Site par Moonshine - Tous droits réservés. IDOL MEDIA, une division du groupe IDOL.
Le lien a été copié
Le lien n'a pas pu être copié.

Voici pourquoi 2017 sera une très bonne année

Pour commencer cette année, PAM vous annonce quelques unes des bonnes nouvelles musicales, à paraître cette année.

Sinkane – Life and Livin’it (City Slang, février 2017)

L’inclassable groupe emmené par Ahmed Gallab sort en février son 4e album : « Life and Livin’it ». On y retrouve ce mélange d’influences si particulier – de l’électro aux cuivres orientaux en passant par la soul et le funk, brassés pour en faire un jus résolument pop. Ce nouveau disque fait plus de place aux instrumentistes et à l’expérience live du band. A la différence des précédents albums, c’est d’abord sur scène qu’il a été rodé, avant que Sinkane ne rentre en studio. Une grande tournée européenne accompagnera la sortie du disque, et nous, nous retrouverons Ahmed Gallab sur Pan African Music.


Inna the Yard (Chapter Two, mars 2017)

Pour ceux qui sont fatigués du dancehall, et qui préfèrent le Reggae Roots, le collectif Inna the Yard sortira son prochain album au printemps prochain. Avec des doyens comme Cedric « Congo » Myton, le grand retour de Kenn Boothe, Winston Mc Anuff et son fils Kush ou encore Derajah. Le all stars a été enregistré dans une maison accrochée aux vertes collines de Jamaïque, un vrai temple du reggae dans lequel s’entassent d’antiques vinyles. Le tout, en acoustique : piano, guitares, et les tambours, omniprésents, qui rappellent les groundation où jadis se forgea le reggae. Chapter two, le Phoenix né des cendres du label Makasound, en a dévoilé quelques extraits, et un teaser qui donne envie d’ores et déjà de dévorer le disque en entier.


Tamikrest – Kidal (Glitterbeat Records, mars 2017)

Cinquième album de ces jeunes touaregs qui ont su suivre et réinventer les chemins tracés par leurs aînés de Tinariwen. Le disque s’appelle Kidal, du nom de la ville malienne qui concentre aujourd’hui encore les tensions, les doutes et les espoirs liés à la question touarègue.


Doueh Vs Cheveu (Born Bad Records, février 2017)

De l’improbable rencontre entre Doueh, virtuose de la guitare saharienne, animateur de mariages et vendeur de cassettes, et Cheveu : groupe français néo-punk et post-moderne…  C’est vraiment cette histoire que raconte le disque Doueh vs Cheveu, et le formidable livret qui l’accompagne (signé du journaliste Jacques Denis). Ce dernier raconte les coulisses d’une association assez folle, dont l’idée naquit dans un bar, portée par quelques pichets de vin. Le résultat est aussi inattendu que l’idée, comme quoi on peut boire et ne pas le regretter ! A découvrir prochainement sur PAM.


Oumou Sangaré – Moghoya (No Format, mai 2017)

Oumou Sangaré en changeant de label a aussi changé d’habits. Adieu soyeux violons, adieu perles de guitare, voici la diva plus électrique que jamais, passant de l’ombre à la lumière et glissant naturellement des cadences de son cher Wassoulou aux boucles électroniques qui rendent fou. Fidèle à elle-même et totalement différente, Oumou Sangaré devrait avec ce disque séduire les jeunes générations, en faisant le pont entre machines et tradition.


De Palenque a Matongué, fin 2017

Cela fait bien deux décennies que les Afro-Colombiens se reconnectent avec les musiques du continent qui leur légua une partie de son héritage. Les remixes des tubes de Prince Nico Mbarga, de Daouda le Sentimental ou de Pepe Kalle ont fait les beaux jours de la Champetta Criolla et de l’un de ses plus grands Dj-promoteurs, Luis Towers. Dans la foulée, plusieurs musiciens africains – en particulier congolais, furent invités à se produire à Carthagena, la capitale des Afro de Colombie.  Le disque Colombiafrica (2007) avait posé la première pierre discographique en invitant les rois de la rumba et du soukouss Nyboma, Daly kimoko, Bopol Mansiamina, Diblo Dibala. En 2016,  le groupe Alé Kuma, qui explore les musiques des Palenques, les villages de marrons du Nord de la Colombie- invitait le guitariste émérite Dizzy Mandjeku et certains de ses acolytes congolais de Belgique, tous familiers du quartier Matongue de Bruxelles (ainsi nommé en référence au quartier historique de l’ambiance de Kinshasa). Après un premier round à Bogota, la dernière session d’enregistrement s’est déroulée à Bruxelles en novembre dernier, après une série de concerts « De Palenque a Matongue ».

Chargement
Confirmé
Chargement
Confirmé